Z’êtes pas trop isolés – le retour !

Ah enfin !!! Ils se décident à remettre des articles sur le blog !! C’est pô trop tôt !! Quels fainéants !!!

Fainéants…eh..je crois pas.. on a bossé comme des dingos !!

C’est mignon un dingo… oui, je m’égare encore, ‘xcusez-moi !!

Donc, nous avons bossé et nous avons des preuves !!! Non mais.

Nous avons continué à installer notre isolation sur les 4 murs du rez-de chaussée. Ce fut assez long notamment à cause des nombreuses découpes nécessaires et des mises à niveau pour le « squelette de bois ».

Nous avons terminé assez rapidement le 1er mur et cela a été un peu plus long pour les autres…

voici le mur « nord », celui de l’actuelle porte d’entrée, revêtu de ses 2 couches…

Nous avons remis un gros rideau devant la porte le temps de la calfeutrer.

Vient ensuite le mur donnant sur la route. Sur celui-ci nous nous sommes réellement « amusés » (je tousse en disant cette phrase, c’est étrange…). En effet, nous n’avions pas de place pour travailler dans de bonnes conditions d’abord à cause de l’escalier, ensuite à cause de la douche…

Aller, on avoue, nous avons un peu râlé…

Titi doit ranger ses épaules de 1ère dan pour se faufiler derrière la douche !!! C’est assez marrant dans l’entendre se cogner toutes les 5 minutes…Heureusement que la douche est solide hé hé hé…

et qu’il reste positif !!

et enfin, le dernier mur…nous commençons à en avoir ras la casquette (je n’ai plus de bras – heureusement, Titi en a pour 2 – voir pour 4)

on s’amuse pour terminer les murs histoire de passer le temps

forcément, il y en a toujours une qui fait l’idiote…

heureusement Titi est sérieux

Voilà, les murs sont terminés mais il reste les encadrements de fenêtres et un léger (très léger…) coup de rangement et de nettoyage…

Z’êtes pas trop isolés?

Z’êtes pas trop isolés? C’est la question qui revient souvent quand on dit aux nouvelles connaissances où on habite. Et ben justement, malgré le fait de ne pas habiter dans une grande ville, on n’est pas isolés! Et nous allons remédier de suite au problème…

Après plein de discussions avec des spécialistes plus ou moins au courant et/ou concernés, nous avons décidé de nous isoler grâce à de la fibre de bois. Bon isolant très naturel et bien adapté aux vieux murs en pierres.

On vous passe toutes les entrevues avec ces spécialistes, qui posaient plein de questions sans nous apporter de réponse, ou qui nous retournaient le cerveau alors que nous commencions à avoir des certitudes.

Plus tard, nous ferons une finition avec de l’enduit terre. Mais c’est plus tard, nous aurons l’occasion d’en reparler…

Donc, nous parlions de l’isolation en fibre de bois. Comment on fait? Bah nous on le sait maintenant!!!

Tout d’abord, il nous faut de la fibre de bois :

En voici deux palettes, les 4 autres sont dans la grange d’à côté…

Et du bois pour faire tenir tout ça :

 

Maintenant il faut reboucher les trous dans le mur laissés par  les anciennes poutres :

On choisit les cailloux :

Faut gâcher du plâtre (terme technique assez contradictoire car si le plâtre est bien gâché, on ne le gâchera pas…) :

Et on bouche les trous :

 

 

C’est pas la partie la plus rigolote de l’histoire…

Bien entendu nous n’allons pas oublier la pause du midi (Ça c’est beaucoup plus rigolo…)

 

Ensuite nous revenons aux choses sérieuses :

On pose un tasseau de bois en haut sous les poutres :

puis le même en bas sur la dalle :

On prend les mesures (ça c’est quelque chose qui revient tout le temps!!!)

On coupe :

Et on pose ces nouveaux tasseaux à la verticale tous les 535mm (puisque les panneaux de fibres de bois font 545mm). Ensuite, on pose ces panneaux entre lea tasseaux verticaux :

Et voici le résultat pour le premier mur :

Mais ce n’est pas fini! Nous posons ensuite une deuxième couche à l’horizontale que l’on fixe sur les même tasseaux verticaux:

Nous arriverons alors à quelques centimètres de la porte fenêtre, pour pouvoir passer l’électricité et poser ensuite l’enduit terre.

La suite tout bientôt!!!

 

Et si on changeait l’escalier de place?

Oui, tiens, si on le changeait de place? Plus tard, on en mettra un autre, mais pour l’instant, on le positionne à l’endroit définitif du futur escalier.

Cela nous permettra aussi de mettre l’isolant contre le mur sur lequel l’escalier reposait.

Donc nous voici en mouvement pour ouvrir une nouvelle trémie (trou dans le plancher qui permet à l’escalier de nous emmener à l’étage; encore un nouveau mot de vocabulaire… on va finir par être savant!)

Pour se faire, on fait appel à un ami  et néanmoins voisin : Mathieu. Et c’est parti!

Le voici en pleine action  : on coupe le plancher à l’emplacement de la future trémie.

On place les étais sur les poutres qui nous gênent

Puis, Mathieu taille les poutres

Voilà voilà, du travail de pro!

On place la poutre qui va soutenir les autres qui nous gênaient.

Et voilà la belle nouvelle Trémie!

 

Maintenant qu la trémie est faite, déplaçons l’escalier (bah oui, sinon ça sert à rien de faire une nouvelle trémie!)

Là, nous profitons lâchement du père de Sarah pour nous aider!

Voilà l’escalier à déplacer.

C’est parti, on démonte (même pas peur)

Voilà voilà, il n’y a plus l’escalier. A noter le bel échantillon de peinture et ce mariage de couleur magnifique…

Maintenant, replaçons l’escalier à sa place définitive :

Et c’est bon! on peut re grimper à l’étage!

Mais il manque quelque chose… Bah oui…

Qu’avons nous oublié???

Oui, au fond là bas, une idée?

Oui, bien joué, nous n’avons pas encore refermé l’ancienne trémie!!!

Et ben au boulot!

On replace une nouvelle poutre.

On reprend les mesures et on rebouche petit à petit!

Bon bah c’est tout pour aujourd’hui : changer un escalier de place : fait!

 

 

 

Piège à père noël 3 !!! La fin du retour !!!

ça c’est de l’intro !!!

Notre histoire de poêle est un peu longue mais ce n’est rien par rapport au casse-tête que cela nous a demandé !!! Marcel, arrête de penser aux poils !!!!

Nous nous étions donc interrompus à la fin de l’installation du poêle c’est-à-dire la sortie de toit et, bien-sûr, l’essai du poêle hé hé hé.

Là encore, gros coup de bol (aïe !!), le mari d’une collègue de boulot est charpentier et propose ses services.

Il passe inspecter le chantier et nous annonce avec joie qu’il peut le faire !!!

Nous devons juste attendre la fin de la pluie…

Jean-Marie passe donc nous voir un matin pour réaliser l’installation. Il s’agit donc :

– d’installer l’embase d’étanchéité (et un mot de plus un !!! c’est la plaque de métal autour de la cheminée qui évite à l’eau de rentrer),

– d’installer la sortie de toit et le chapeau,

– de fixer le tout sur la charpente,

– et, bien-sûr, de raccorder tout ceci au conduit de cheminée (sinon, ben, ça sert à rien).

Un petit schéma :

 

Alors, com’ d’hab, sur le papier arhhhhhhh, l’écran, pardon, c’est simple. Mais, je sais que vous savez que je sais que vous savez !!! N’oubliez jamais jamais jamais jamaiiiiiiiiiiiiis que nous sommes en rénovation !!!

(rhoo la la, on dirait un mélange entre Gainsbourg et Jean-Luc Reichmann !!).

J’arrête mes digressions !!!

Donc, comme d’habitude, il y a des surprises (je pense à une autre digression mais promis, je ne la ferai pas).

Malgré la légèreté de notre couvreur, les ardoises pètent les une après les autres au moindre mouvement !! Au lieu de passer 2 heures à installer la bête, nous en avons passé 3 et demi à 3 personnes !!

Du coup, je passais les ardoises à Jean-Marie, pendant que notre Titi international faisait les ajustements sur le conduit.

je sais que vous aimez ça alors voici quelques photos (« cliquez-y donc dessus pour y voir » – expression typique d’ici – non considéré comme une digression) :

oui, on est haut quand même !!! Notre couvreur a eu l’excellente idée de réaliser un trou d’homme (ou de femme) accessible et permettant le passage des éléments de la cheminée et du matériel !!!

on remet les ardoises cassées (heureusement, nous avions du stock !!!)

après quelques heures de travail, nous sommes tous contents !!!

Roh la la nous devons partir mais nous ne pouvons pas résister !! Nous n’allons tout de même pas partir sans essayer le poêle !! Titi se lance donc pour une 1ère flambée :

pareil, il a l’air heureux !!!

Encore une mission réussie par les Lesur-Cheikhameguyaz.

Merci à Jean-Marie pour sa gentillesse et son aide si précieuse.

Merci aux parents qui nous ont soutenu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Piège à père noël 2

Faute de temps, nous n’avions pas écrit l’article sur notre moyen de survie de cet hiver : notre poêle à bois !

Alors voilà sa petite histoire…

Dominique, notre voisin, nous a conseillé une entreprise française vendant des poêles un peu chers mais très fiables. Lorsque nous consultons le site, nous trouvons une rubrique « fin de série/modèles d’expos » : 60 % de réduction sur celui qui nous intéresse pour cause de modèle d’exposition présentant un éclat de peinture l’arrière.

Nous passons donc la commande fin août et, avec les congés, celui-ci arrive début septembre 2013.

C’est marrant, sur les pubs pour les poêles, il y a rarement le conduit de cheminée…

Nous inspectons la bête et, en fait, l’éclat de peinture ne se voit pas du tout lorsque les pierres ollaires* sont installées (* : les pierres ollaires sont des pierres qui permettent d’emmagasiner la chaleur et de la restituer même lorsque le poêle est éteint).

Le poêle c’est bien mais il faut aussi installer un conduit !! Et, sans le poêle, impossible de prendre les dimensions (mention !) exactes pour le conduit. Nous consultons encore internet mais les prix sont prohibitifs…nous pensons même à l’éventualité de passer l’hiver au froid. Ah…c’est insoutenable cher lecteur, non ???

Meuh non, il y a toujours une fin heureuse à nos histoires !!!

Mathieu (notre voisin qui nous a aidé à installer nos fenêtres) nous indique que le quincailler du village d’à côté propose des prix défiants toute concurrence. Nous sommes dubitatifs mais y allons.

Bonne surprise !!! 1 000  € de moins que sur internet !!! Soit 1600 € pour l’ensemble tubes inox/cheminée/sortie de toit/aération au lieu des 2600 € prévus. Nous commandons immédiatement mais le délai est de 15 jours…

Ça commence à cailler un peu à la maison mais les pulls sont là et, surtout, les amis qui pensent à nous. Alors que je me lève en ronchonnant après le froid, Vincent (célèbre saxophoniste de Save My Soul) arrive les bras chargés d’un poêle à pétrole et d’une énorme bombonne pleine du précieux combustible. Miracle (il mérite plus la canonisation que JP II à mon avis).

Nous recevons les tubes et Titi commence l’installation un peu complexe (sinon ce n’est pas drôle !!). En fait, nous sommes dans l’obligation de décaler l’escalier du rez-de-chaussée de 50 cm pour pouvoir installer la bestiole : rien que ça !!! Heureusement, pas de soucis sur les étages supérieurs : ouf.

Pour les tubes en inox-inox, c’est plus simple : il « suffit » de les emboiter.

Voici le schéma :

et les photos de l’installation :

– le rdc avec le trou dans le plancher, l’installation pour décaler l’escalier et le raccord conduit simple conduit isolé (rappel, vous pouvez cliquer sur les photos pour voir les détails puis vous cliquez sur la flèche en haut à gauche pour revenir à l’article) :

le 1er :

c’est pareil au 2ème…

et les combles :

La phase emboitement des pots et simple, certes, mais, par contre, il faut découper les planchers pour installer les plaques d’écart au feu (rohh la la encore un terme technique !!!). Ces plaques nous permettent d’éviter de mettre le feu à notre plancher (ce serait dommage tout de même !). Vous en voyez une autour du tube ci-dessous.

Pour le 1er étage, on a l’idée de faire une petite trappe de chaleur pour nous permettre de chauffer la chambre le soir et de garder la chaleur en journée. On a utilisé le trou laissé par l’escalier qui arrivait au niveau de la 1ère baguette en métal…

ouvert :

fermé :

attention, le modèle est déposé !

Un sacré boulot réalisé par mon super-chéri-pro.

Par contre, pour mettre le poêle en dessous, nous avons fait appel au voisin car mes petits bras ne suffisaient pas (130 kg sans les pierres donc environ 150 kg avec !!!).

Il reste l’installation de la sortie de toit et, pour ça, pas question de faire les acrobates à 9 mètres du sol !!! Il nous faut de l’aide !!

La suite très bientôt….

 

 

 

 

 

 

Y’a pas que la maison qui se fait pomponner !!

Hein ma pomponetteuuuuuuuuuu !!!

En attendant d’avoir les solutions pour notre isolation (en cours…), nous rénovons aussi les objets.

Un ensemble complet de mobilier de jardin devait partir à la déchetterie et nous l’avons intercepté !

Non mais. Bon, c’est vrai qu’il était bien abimé…

Après 10 heures de travail sur la table, voici le résultat !!! Extraordinaire et inespéré !!

Idem pour la chaise :

 

Cliquez sur la photo, vous n’allez pas croire que ce sont les mêmes chaises !!!

Il nous reste encore le banc et la 2ème chaise à sauver.

Les voisins qui ont jeté ces bijoux vont s’en mordre les doigts…

A moins qu’ils soient ravis pour nous ???

Sarah et Titi

 

Un p’tit beurre des tout you !!!

Et oui !!! Un an déjà que nous avons signé pour cette formidable aventure !!

Le 20 mars 2013, nous étions chez Maître L. avec Blandine et Mathieu pour signer l’acte.

Un grand moment gravé dans nos mémoires.

A l’heure de cet anniversaire, nous constatons que cela fait maintenant plus de 3 mois que nous n’avons pas alimenté ce blog. Du coup, nous avons envie de reprendre (en même temps que nous souhaitons reprendre les travaux !).

Pour celles et ceux qui l’ont réclamée, la photo des portes-fenêtres :

le traditionnel avant :

après :

C’est formidable, non ??!!!

Sarah

Portes-fenêtres !!!!!!!!!!!!!!!!

ah !!! Quand même !!!!

Depuis le temps qu’ils nous font mariner :

ah pardon, je me suis trompée…

Donc, on part de là :

Vous vous souvenez que nous avons tout cassé (encore une fois…) pour ouvrir 2 grands trous à destinations de nos portes-fenêtres. But du jeu, profiter de la lumière, des rayons de soleil et de la vue.

Avant toute chose, protection du bois :

je suis surveillée de près par le chat du voisin !!!

Pendant ce temps, les garçons bossent dur :

préparation des cadres :

et fixation de ces cadres :

on fait des trous dans le mur :

on utilise une grosse patte de scellement :

et on bouche avec du ciment :

on peut ensuite mettre le dormant et les ouvrants :

à l’identique des fenêtres du rez-de chaussée, il faudra s’amuser à boucher tous les trous et à faire les appuis de fenêtres dehors :

Quelques bétonnières seront nécessaires pour remplir ces grands trous (mon  pauvre Titi a dû m’aider sur la fin car je ne parvenais plus à porter les seaux !!!).

Mais le résultat est presque parfait :

Et du dehors, c’est très sympathique !

La maison prend alors une autre dimension grâce à ces fenêtres qui nous apportent toute cette superbe luminosité. C’est un réel changement. Nous allons apprécier les changements de temps !

Rebouchage fenêtres rdc

Dans notre dernier article, on a été obligé de faire un peu de casse pour installer nos fenêtres du rdc.

Et bien quand on casse, on répare !! Non mais !!

Il faut préparer le coffrage pour couler le béton. Cette phase de préparation est tellement longue !! Trouver un bout de bois qui va bien, le mettre à la bonne mesure, l’installer, le caler. Au moins 3 heures de bricolage !!!

L’intérieur est enfin prêt à recevoir le béton !

On installe nos planches là où nous devons boucher les trous et nous les soutiendrons ensuite grâce à d’autres (par le dessous).

Pour l’extérieur, on s’embête pas et on fait au plus court : on utilise les volets comme coffrage ! De toute façon, il faudra les changer alors… Je crane un peu parce que, pour une fois, je bosse avec mon Titi :

Bon, c’est bien les volets  mais il y a des trous en dessous…grrr

Aller, encore une bonne idée du Titi pour la solution qui consiste à fixer directement sur le volet des petites planches. Malin.

Enfin, on bouche le reste des minis trous avec du journal

et hop, on coule avec la bétonnière du voisin.

Et non, on ne peut pas couler à 2 et prendre les photos…

Je passe donc directement au produit quasi fini :

intérieur (sera caché par l’isolation en laine de bois ou un mélange chaux-chanvre – on n’a pas encore tranché) et extérieur :

Après un futur coup de peinture couleur sable, ça ne se verra même plus !!!

Oui, je disais quasi fini car il restait tout de même quelques petits trous que mon Titi s’est bien amusé à reboucher toujours avec la laine de bois.

Du coup, entre ça, les trous laissés par les poutres (eux aussi rebouchés) et les portes fenêtres, nous arrivons à conserver la chaleur !

J’ai dit portes-fenêtres ??? Ah oui, c’est l’objet de notre prochain article ça, non ???

Tu es le soleil de ma vie…

Coucou,

Oui, nous ne sommes pas très réguliers : combat contre l’hiver qui approche à grands pas oblige.

Voici donc l’histoire des fenêtres du rez-de-chaussée suite à de nombreuses réclamations de notre fidèle public.

Impossible de conserver quoi que ce soit des anciennes fenêtres du rez-de-chaussée : trop vétustes. Il faut tout péter et pour ça, on est des pros maintenant.

Voici donc les anciennes fenêtres rafistolées par Bibi mais qui ont fait leur temps (les toiles d’araignées ont 1 semaine c’est vous dire si nos amies les arachnides sont puissantes chez nous !).

Mais avant de tout retirer, nous nous entourons d’un pro pour la pose parce que c’est bien beau de vouloir tout casser mais pas question de laisser le rez-de-chaussée sans fenêtres !

Mathieu, un de nos gentils voisins qui rénove sa maison comme nous, est venu nous aider et dans la bonne humeur !

je regarde le pro et je copie pour enlever l’ancienne fenêtre :

Il faut ensuite poser les « dormants » c’est-à-dire le montant en bois sur lequel les « ouvrants » vont venir se fixer (encore tout plein de termes techniques engrangés !).

Il a fallu sceller ceux-ci au mur avec du ciment prompt (rapide) et des petites pattes en métal qui s’insèrent dans le mur :

et voilà pour la fenêtre gauche et on fait pareil à droite. On pose ensuite les ouvrants et on ajuste (un peu long et complexe à faire en rénovation…).

comme vous le voyez si vous cliquez sur la photo, lors de la dépose de la fenêtre, nous avons été dans l’obligation de casser un peu de mur et de plâtre histoire de garder un peu de travail pour après…aïe aïe aïe…bof, on verra ça après !

voici donc le avant après :

à l’achat :

la réparation de fortune :

et enfin les nouvelles fenêtres :

nos lecteurs attentifs et passionnés auront également remarqué que nous avons réparé et fermé les portes de nos 2 caves : yes !

Le rebouchage bientôt !